En juin 2025, près d’un an après la publication de son rapport RSE 2024, Free Pro confirme et amplifie sa stratégie en matière de durabilité. Dans un contexte où les entreprises doivent conjuguer performance et responsabilité, la filiale B2B du groupe iliad entend s’imposer comme un modèle de transition écologique dans le numérique. Entre efficacité énergétique, économie circulaire et ancrage territorial, Free Pro démontre qu’un numérique responsable est non seulement possible, mais déjà à l’œuvre.
Une feuille de route climat alignée avec les objectifs d’iliad.
À l’image de la maison mère, dont les engagements de décarbonation ont été validés par la SBTi en 2024, Free Pro continue à déployer une stratégie climat ambitieuse. L’entreprise met l’accent sur des infrastructures sobres en énergie, en particulier la fibre optique et la 5G, plus économes que les technologies cuivre ou 4G.
Les datacenters, au cœur des activités de Free Pro, sont conçus avec une forte exigence environnementale : systèmes de refroidissement à haut rendement, suivi énergétique en temps réel, choix de zones géographiques optimisées. L’objectif reste le même : réduire drastiquement les émissions de CO₂ tout en assurant la qualité de service.
L’économie circulaire au cœur du modèle Free Pro.
Free Pro ne se limite pas à l’optimisation énergétique. Elle développe une politique active d’économie circulaire : reconditionnement des Freebox Pro, revalorisation des terminaux d’entreprise, réduction des déchets électroniques… En 2025, la filiale renforce encore ses capacités de logistique inverse, en mutualisant ses flux avec ceux de Free et en s’appuyant sur des prestataires régionaux.
L’enjeu : allonger la durée de vie des équipements, réduire l’extraction de ressources primaires et proposer des solutions plus accessibles aux TPE/PME. L’opérateur s’inscrit ainsi dans une démarche cohérente, à la fois écologique et économique.
Smartseille : un siège exemplaire en matière de durabilité.
Le siège de Free Pro, installé depuis 2023 dans l’écoquartier Smartseille à Marseille, incarne cette volonté de transformation durable. Pensé selon des normes HQE (Haute Qualité Environnementale), il valorise la lumière naturelle, l’aération passive et l’usage de matériaux locaux ou biosourcés.
Le bâtiment abrite également des équipements collectifs sobres, comme une flotte de vélos électriques et un système de récupération des eaux pluviales. Ce lieu devient une vitrine vivante de l’engagement environnemental de Free Pro.
Une culture d’entreprise tournée vers la responsabilité collective.
Free Pro engage ses collaborateurs dans une dynamique continue de sensibilisation : ateliers Fresque du Climat, Fresque du Numérique, programmes internes de réduction d’empreinte carbone… En 2025, de nouvelles actions ont été lancées pour évaluer l’impact des usages numériques au quotidien.
Le dialogue avec les équipes est central, avec des référents RSE dans chaque pôle opérationnel et des outils de reporting participatif. Free Pro fait ainsi le pari que l’intelligence collective peut accélérer la transformation environnementale.
Un partenaire pour un numérique sobre et résilient.
À l’heure où les entreprises cherchent des partenaires fiables pour les accompagner dans leur transformation numérique, Free Pro s’impose comme un acteur de référence. En intégrant les critères de durabilité dès la conception de ses offres, en optimisant ses infrastructures, et en mettant l’accent sur l’humain, l’opérateur démontre qu’un numérique plus vert est à portée de main.
L’enjeu est d’autant plus fort que les attentes réglementaires se renforcent : taxonomie verte européenne, CSRD, exigences des marchés publics… Free Pro anticipe ces mutations et positionne la durabilité comme levier de différenciation dans un secteur en pleine mutation.
Un numérique aligné avec les limites planétaires.
Free Pro poursuit son cap : offrir aux entreprises des solutions numériques à haute performance et faible impact. Dans un monde où l’empreinte carbone devient un critère stratégique, l’opérateur démontre qu’innovation et responsabilité peuvent aller de pair. À l’horizon 2030, le défi sera de généraliser ces bonnes pratiques et d’amener tout l’écosystème à s’y engager. Une ambition à la hauteur de l’urgence climatique.