UFC-Que Choisir : chez Free, « pas de problème de réseau pour les usagers »

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It just works

Dans un entretien consacré à France-Soir, Edouard Barreiro, chargé de mission spécialiste des télécoms pour l’UFC-Que Choisir, revient sur le lancement de Free Mobile en France.

Si il reconnaît volontiers des couacs chez le nouvel entrant, prenant en exemple le cas d’une abonnée « en attente de sa carte sim et de sa ligne téléphonique depuis 41 jours », il admet également que ces problèmes tendent à se réduire petit à petit. « Nous sommes dans une pente descendante des litiges, petit à petit les cas se résolvent (…) C’est juste un problème d’organisation, Free est débordé ». Son conseil pour les consommateurs tentés par l’offre Free Mobile ? « Attendre encore un peu, le temps que la situation se normalise chez Free, et que cet opérateur atteigne un rythme de croisière ».

Edouard Barreiro invite toutefois à se méfier de certains aspects de l’offre de Free. Il n’est par exemple pas toujours avantageux de se procurer son smartphone sur la boutique de l’opérateur : « on a remarqué que le Samsung Galaxy II était vendu plus cher chez Free Mobile que dans certains magasins par exemple. Il n’est pas très compétitif. Autant l’acheter sur un site commercial, et venir ensuite chez Free en ayant déjà le mobile ».

Réagissant à la polémique portant sur l’état du réseau de Free Mobile (critiqué par ses concurrents, qui soupçonnent le trublion d’avoir éteint certaines de ses antennes-relais), il rappelle l’essentiel : « cela n’a aucun impact sur les consommateurs, puisque Free passe par le réseau d’Orange ». Côté client, pas de problème donc… sauf en cas de remise en cause de l’accord d’itinérance d’Orange, mais « cela me paraît impossible à 99,9% », avoue-t-il. « Aujourd’hui, les seuls problèmes avec Free pour les usagers concernent l’envoi des cartes sim, ou la portabilité des numéros, c’est tout », résumera-t-il finalement.

- Lire l’intégralité de l’interview sur le site de France-Soir

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Rédactrice principale sur Freenews de 2009 à 2020. Il paraît que des personnes demandent de mes nouvelles depuis.

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