Plusieurs entreprises d’Asie et d’Europe de l’Est visées par le Parlement Européen

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Le Parlement européen vient de solliciter de l’aide aux Etats Membres de l’Union, de prohiber l’utilisation d’un certain nombre de produits étrangers et notamment issus des technologies russes ou bien encore chinoises, comme c’est le cas de Tik Tok, Huawei, ZTE, Ntechlab ou bien encore Kaspersky de manière à empêcher leur emprise sur la politique européenne.

Cette mesure vise essentiellement à limiter les fake news comme les actes de malveillance de la part d’une poignée d’entreprises clairement identifiées, conformément à la ligne directrice qui a été fixée par l’Union Européenne comme dans d’autres sphères étrangères telles que les Etats-Unis ou bien encore l’Australie.

D’une manière plus précise, ces Etats redoutent, et cela n’est pas une nouveauté, une gestion douteuse des données personnelles comme une propension manifeste à manipuler les esprits les plus perméables concernant Tik Tok, à rediriger un certain nombre d’éléments vers le gouvernement chinois pour le constructeur et opérateur d’infrastructures Huawei …

Plus généralement, c’est la présence de ces fleurons d’une technologie d’état répartis entre l’Asie et les pays de l’Est, qui alertent les Etats membres, au terme d’un rapport initié dans le courant de l’année 2020 par le Parlement, sur leur ingérence politique au moyen de campagnes de fake news dont l’objectif est de semer le trouble.

Ce rapport fait suite à des travaux lancés par le Parlement européen en 2020. Il concerne l’ingérence de politiques étrangères comme la Russie ou encore la Chine dans la politique européenne via des campagnes d’informations malveillantes pour favoriser la discorde entre les Etats européens ou encore en ciblant des journalistes, des législateurs ou des partis politiques.

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