La 5G va bientôt fêter en France, sa première année de commercialisation. L’occasion de faire un point sur ses apports dans le cadre du quotidien, comme de son nombre d’utilisateurs.
Car si souscrire un forfait adapté est somme toute assez simple, il convient également, parallèlement, de procéder à un renouvellement de son matériel, ce qui a pu freiner quelques ambitions de la part des usagers ou abonnés en devenir.
Pourtant, au niveau des chiffres, le parcours de cette nouvelle technologie semble, à ce jour, plutôt positif, avec un peu plus de 520 millions d’utilisateurs et pas moins de 1,5 millions de sites installés de par le monde, ce qui permet à la 5G de prendre de l’ampleur dans nos usages au quotidien.
Premier effet : la consommation de data avec un peu plus de 10 Go supplémentaires utilisés par abonné au cours de ces derniers mois selon une étude publiée par le constructeur suédois Ericsson, alors que l’usage minimum de données s’inscrit par jour, à 1,5 Go en moyenne.
Constatation identique pour Huawei, qui met en avant de son côté, le bond spectaculaire des souscriptions aux abonnements 5G à échelle planétaire ; une surprise au regard de son arrivée récente sur le marché.
Un état des lieux unanime de l’Est à l’Ouest.
En effet, le constructeur asiatique précise que pas moins de 1,5 millions d’infrastructures compatibles ont été implantées et activées à travers le monde, par les 176 opérateurs détenteurs de bandes de fréquence, garants d’une couverture optimale de réseau pour leurs abonnés.
Cependant, si la France fait figure de bonne élève en la matière au coeur de l’Europe, la Chine maintient sa pole position avec un nombre total de sites ouverts défiant toute concurrence (46 000 au mois d’avril), loin devant l’hexagone, qui de son côté, occupe une position largement dominante sur le territoire européen.
Augmentation de la consommation de data, partage de données, de vidéos, de photos, streaming, démocratisation de l’usage du mobile … autant de raisons de muter vers une nouvelle technologie plus adaptée à l’intégralité de ces environnements en garantissant aux opérateurs, un minimum de conscience quant à leur impact sur l’environnement grâce à une nouvelle technologie estimée plus propre en termes d’empreinte carbone.
