Free s’offre l’eSIM à quelques jours de Noël

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L’arrivée était attendue depuis le lancement de la Pop dans le courant du mois de juillet dernier et après des semaines d’atermoiement.

C’est dans la discrétion la plus absolue que Free a sorti aujourd’hui l’eSIM,
tout en proposant une relooking complet de sa devanture mobile sur internet comme de ses offres tarifaires.

Une carte dématérialisée..

L’offre en elle-même se propose sous la forme d’une option disponible désormais lors de la souscription de votre forfait par la voie classique, pour un tarif fixé à 10 €, réglable dès la commande.

Une manière simple et pratique d’intégrer directement la fonctionnalité au téléphone puisque cette sim est virtuelle et paramétrable directement depuis le menu de votre smartphone, ce qui règle pas mal de difficultés notamment liées à l’ergonomie ou au format des cartes physiques mises sur le marché et tout ceci pour un prix identique.

Un gain de temps et une simplification qui devraient séduire très rapidement son public ; il faut dire que cette option était disponible auprès des opérateurs concurrents de longue date et qu’elle était pour le moins, particulièrement attendue.

Pour y accéder rapidement, c’est par ici.

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Directrice de publication et d'édition.

13 commentaires

  1. Non,, l’eSIM n’est pas virtuelle.
    Le « e » de eSIM signifie « embedded ». Cette carte SIM est donc soudée dans les appareils électroniques (tablettes, téléphones, montres, ordinateurs, distributeurs de café, etc.), mais existe bien physiquement. Il n’y a simplement plus de plastique autour.

    Sa specification est décrite par la GSMA (https://www.gsma.com/newsroom/wp-content/uploads//SGP.21_v2.2.pdf).
    Dans le cas du grand publique, elle n’est pas paramétrable à partir du téléphone, comme vous l’écrivez mais il faut scanner un QR code, avec son appareil, qui déclenche le téléchargement de son contenu par l’opérateur qui a fourni le QR code.

    Enfin, un sujet qui n’est jamais abordé est le problème de l’interopérabilité. Les contenus de carte (ou « profil de carte ») ne sont testés que sur quelques fournisseurs de cartes (eg Gemalto, Idemia, G&D). Mais il existe des dizaines de fabricants.
    Si un profil fonctionne correctement sur des eSIM Gemalto, Idemia ou G&D, rien ne certifie que cela sera la même chose avec des fabricants chinois.

    Modération : modérer vos propos

  2. Bonjour Sébastien,

    pourquoi une tel violence dans vos propos :
    – […Votre article n’est qu’un ramassis d’erreurs.]
    – [..vous n’y connaissez rien en écrivant cela.]

    Vous auriez pu simplement partager vos informations sans attaquer vertement l’auteure.
    Car si l’on parle d’erreur vous citez deux fois Gemalto il aurait été plus juste de dire : Ex-Gemalto puisque l’entreprise n’existe plus et que ses produits sont maintenant Thales.

    Et pour finir l’article n’est pas là pour présenter les aspects techniques de la solution (eSim) mais bien pour informer de la disponibilité de l’offre chez l’opérateur Free.

    Bien à vous

  3. @stephan,

    C’est vrai que Sebastien est un peu violent, mais même si on prend votre parti et que l’article n’est là que « informer de la disponibilité de l’offre chez l’opérateur Free », il se trouve que ça aussi c’est une connerie…

    puisque connecté sur son compte free, la commande n’est toujours pas possible.

    Donc, il est violent certes, mais dans l’ensemble c’est un peu vrai que cet article est complètement faux…

  4. Il est vrai que mes propos sont assez violents.
    Ceci parce que j’en ai assez de lire n’imorte quoi au sujet de la carte SIM, de l’eSIM en particulier.
    Autant se limiter à l’annonce de l’ouverture du service.

    J’ai fait un même commentaire moins violent sur la VoLTE disponible ou pas chez Free : il ne suffit pas dire qu’elle est disponible. Il faut aussi que les cartes SIM soient compatibles. Or celles-ci sont plus chères que celles non compatibles.

    Pour ce qui est de Gemalto, c’est tout à fait intentionnel. Bien que Gemalto soit maintenant une marque Thalès (pour contrecarrer la proposition de rachat d’ATOS), Gemalto reste une référence chez tous les MNO et parle beaucoup plus que Thales. La même chose pour Idemia et Oberthur. C’est parfois encore vrai avec Sagem-Orga, mieux connu que Morpho ou Idemia.
    Mais on entre là dans une discussion de spécialistes 🙂

  5. Le prix de 10 EUROs est tout à fait abusif.
    Le prix d’une carte SIM physique varie de 1 EURO à 10 centimes en fonction du volume de cartes acheté par an.
    Pour l’eSIM, les volumes sont encore très faibles, mais un téléchargement dans un appareil revient à moins de 1 EURO.

  6. Bonjour Florent,

    Comme à son habitude, Free propose les nouveautés aux nouveaux abonnés en premier… les anciens abonnés auront accès à l’esim « ultérieurement » :/

  7. qu’en est il des montres connectés comme apple ou samsung qui embarquent la 4g, et on besoin d’une seconde carte « eSIM »
    avez vous des infos?

  8. et pour les personnes qui disent 10€ c’est abusif, pour avoir participer à la l’intégration de la esim dans le SI d’orange c’est juste une plaie à intégrer sur des plateforme qui date de 1998 ou 2000 et ca a couté des millions il faut bien amortir ce coût .

  9. @HU ARNAUD, A ma connaissance, les Appple watch n’ont qu’une eSIM, donc elle n’ont pas besoin d’autre carte (e)SIM. Je ne sais pas comment la dernière version d’Apple Watch fonctionne, mais à une époque, il fallait connecter en Bluetooth sa montre à un autre appareil Apple pour que celui-ci lise le QR code et déclenche le téléchargement du profil dans l’iWatch. C’est donc un parcours client propriétaire, différent de ce qui est prévu par la GSMA.

    Pour Samsoung, aucune idée.